Parmi les plus de 330 personnalités recensées dans les « Pandora papers», ces documents sur le recours aux sociétés offshore dans les paradis fiscaux, il y a notamment le président gabonais Ali Bongo. Ce dernier aurait été le bénéficiaire de deux sociétés maintenant dissoutes.
Selon le consortium, Cresthill Worldwide Limited a été immatriculée le 30 mars 2007 aux Îles Vierges britanniques. Une deuxième société, Gazeebo Investment Limited, est immatriculée dix mois plus tard, le 29 janvier 2008, par un autre cabinet spécialisé.
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