Si l'Union africaine, l'Union européenne et le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres ont tous condamné la prise de pouvoir par les militaires au Soudan, il reste un grand silencieux : le Conseil de sécurité. Les 15 membres peinent à s'entendre sur le contenu d'une déclaration depuis plus de deux jours.
Les diplomates ne comptent même plus le nombre d'allers-retours, ou de versions du texte de cette déclaration qui est négociée depuis lundi 25 octobre, jour du coup d'État. À plusieurs reprises, la Russie a empêché que le Conseil s'exprime pour l'instant. Chine et Russie ont fait savoir leur opposition de principe à une telle expression - car elle touche à la « souveraineté » des États.
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