Le ministère de la Justice sanctionnera très lourdement tout agent de l'administration suspecté d'avoir torturé moralement ou physiquement des prisonniers.
Les surveillants de l'administration pénitentiaire, magistrats, représentants d'organisations civiles, sont en conclave vendredi pour décider ensemble comment lutter contre ces actes répréhensibles.
Le Togo s'est engagé à lutter contre la torture dans les prisons et dans les autres lieu de détention. La situation n'est pas encore parfaite.
Le pays a mis en place les instruments pour prévenir et faire reculer la torture. Mais ces instruments n'ont d'intérêt que si tous les acteurs de la chaîne pénale s'en saisissent.
L'interdiction de la torture est inscrite dans la constitution.