La Lettre de Politique de Décentralisation Émergente ambitionne un avenir meilleur pour Madagascar. Le projet est effectif pour le pays en 2030.
Le but est d'assurer la promotion du développement du territoire. Le gouvernement tente d'éradiquer la pauvreté et mener Madagascar vers le développement durable. Toutes les parties prenantes de directions doivent se mobiliser et s'intégrer pour éradiquer le problème source.
Cette politique sert à dispatcher le pouvoir au niveau des régions et des communes. Le Premier ministre a mis au point le fait que " le gouvernement a déjà partagés les matériaux et budgets nécessaires, pour que chaque responsable travaille selon ses responsabilités ". Les autorités ne peuvent pas tout résoudre. D'ailleurs la LPDE existe depuis deux ans maintenant pour la cohérence de travail entre les parties prenantes " les dirigeants " de chaque secteur.
Les bilans et rapports des travaux finis commencent à Analamanga. Les députés et maires dans toute la région participent à cette réunion. Il faut mettre les points sur les i. Le gouvernement demande les retours, selon les budgets partagés comparés aux travaux finis.
Les travaux prioritaires sont-ils finis ?
Pendant ses deux ans, où en est le travail pour le développement de Madagascar ? La politique de la décentralisation émergente rattrape le temps perdu. Les maires et les députés ne travaillent pas seuls pour les projets à venir. Le gouvernement continue à partager les financements nécessaires, hors les subventions et ressources internes propres des communes. Mais avant cela, il faut avoir un projet tangible et réaliste.
Région libre
Les projets à mi-chemin, les partenaires de Madagascar continuent leurs engagements envers le pays. Pour le bon déroulement des travaux, les idées de la Politique de Décentralisation Émergente proviennent de chaque commune. Le but à atteindre " il faut que chaque région soit indépendante financièrement ".
Le gouvernement donne le pouvoir de contrôler son secteur selon les attentes de la population. Pour les décisions à prendre et les ressources internes, la région est libre d'agir à sa guise. Pourtant, les financements venant des organes supérieurs ne sont accordées que sous preuve d'un projet concret.
Pour surveiller le déroulement des travaux, l'inspection d'Etat prend le relais, accompagné de la branche de surveillance des ministères. Chaque projet a son finalité. Les tâches doivent être faites dans les délais prévues. Pour le bon fonctionnement de la Politique de Décentralisation Émergente, le gouvernement doit redéfinir les missions de chaque niveau de Collectivité Territoriale Décentralisée ou CTD.