La Commission Nationale Indépendante des Droits de l'Homme (CNIDH) ne voudrait pas rester les bras croisés, suite à l'incendie criminel occasionné par les dahalo tout récemment à Ambohitriniandriana dans le district d'Ankazobe. Une attaque sordide qui a coûté la vie à 32 personnes.
Une situation qui n'a pas laissé de marbre cette commission qui est descendue sur place pour constater de visu la réalité. Pour la CNIDH, ce qui est important c'est la recherche et la punition des auteurs de ce crime abominable qui a causé de graves crises non seulement sur le plan physique mais aussi mental pour la population locale qui n'a pas pu jouir de ses droits fondamentaux.