Le ministère de l'éducation nationale et de l'alphabétisation, avait dans un communiqué, indiqué que les parents d'élèves devront désormais payer un montant de 100 milles pour les inscriptions et 150 milles francs pour les réinscriptions.
Ce plafonnement issu des rencontres avec les acteurs du département dirigé par le ministre Guillaume Hawing et les fondateurs des écoles privées, a créé polémique dans le rang des responsables desdites écoles. Dans l'émission des Grandes Gueules de ce lundi, 12 septembre 2022, le numéro 1 de l'enseignement pré-universitaire a pris l'engagement de faire respecter cette décision aux gens, malgré les suspicions qui continuent de se faire autour depuis cette annonce.
" Beaucoup ont fait une lecture ou l'interprétation diagonale autour de ladite décision. Pour intégrer la notion le plafonnement, il faut intégrer la notion d'intervalle. Et pour ça, il y a la borne inférieur et celle supérieur. Nous avons dit que ce plafonnement c'est de zéro à 100 milles pour les inscriptions et de zéro à 150 milles pour les réinscriptions. Ce qui veut dire que ceux qui sont à zéro franc restent à zéro franc, à 20 ou 30 milles restent à ça. Mais ceux qui sont au-delà de 100, 150 ou 200, seront dans l'obligation de respecter la décision, car c'est un consensus qui n'a été imposé à aucun fondateur, puisque c'est venue même de leur bouche", a fait remarquer Guillaume Hawing.
Pour ceux qui disent que la décision est venue tardivement ou unilatéralement prise, le ministre a rappelé que les différents services, les conseillers juridiques et techniciens de son département ont eu des rencontres avec des fondateurs. C'est delà qu'un consensus a été trouvé, avant la prise de ladite décision, suivi par le communiqué officiel.
" Ils ont discuté et ils ont convenus sur quelque chose. En tant que département, nous sommes obligés de faire respecter ça. Ce que nous avons apprécié est le fait que d'autres écoles avait des frais d'inscription de près de 2 millions. Ce n'est pas une invention, car la dernière fois que j'ai fait une conférence, j'ai exhibé les documents et la dame a accepté de descendre de 2 millions à 150 milles francs. Comme pour dire que les gens sont obligés de le faire. Ils n'ont pas de choix", a-t-il coupé court.