Les préparatifs en vue de sa participation au Miss Monde vont bon train pour notre Miss nationale, Antsaly Rajoelina. Elle se prépare déjà à tous les challenges auxquels elle va devoir faire face lors de ce concours mondial qui se déroulera au mois de décembre prochain. Parmi ces derniers, le challenge Beauty of purpose, qui concerne le projet social qui lui tient à cœur. Il y aura également un challenge sportif, une interview (le head to head challenge), le challenge styliste pour lequel elle collabore avec Bôgasy, le challenge Top Model qu'elle prépare avec Totem Agency et le challenge multimédia.
La Miss Madagascar 2022 se prépare à fond en approfondissant l'anglais entre autres, en faisant du sport, notamment de la zumba et de la musculation en plus de l'athlétisme, son sport de prédilection. Cela, sans oublier les activités sociales pour lesquelles elle s'est engagée avec le comité d'organisation de Miss Madagascar et des associations partenaires.
Ainsi, Antsaly Rajoelina a apporté son soutien aux enfants et aux filles victimes de violence dans des hôpitaux et orphelinats dont l'orphelinat Felana Maitso Ambohibao et l'Akany Avoko Ambohidratrimo, l'association Vonjy qui prend en charge les enfants victimes de violence, l'hôpital des enfants de Tsaralalàna et d'Ambohimiandra. Les victimes de violence bénéficient d'un appui psychologique, de moments ludiques ainsi que des dons en nature. Durant ces visites, Antsaly prend le temps de discuter avec les victimes de violence, pour témoigner en tant qu'ancienne victime, que cette malheureuse expérience ne doit en aucun cas les empêcher d'avancer dans la vie ni d'atteindre leurs rêves.
Antsaly Rajoelina a également été invitée par le Soroptimist International à participer à une sensibilisation pour la lutte contre le cancer du sein, le 01 er octobre dernier, en participant à un semi-marathon. Elle a eu l'occasion de faire une sensibilisation sur son projet de lutte contre la violence à Madagascar durant la soirée de levée de fonds que ce club de service a organisée en guise de clôture de son cinquantième anniversaire. Elle a encore déploré le fait que la violence qui devrait interpeller ait tendance à être banalisée. Elle déplore également le manque d'infrastructures pour prendre en charge les victimes, ce qui nuit considérablement à la résilience du peu de victimes qui osent se déclarer.