Congo-Kinshasa: A l'occasion du 77ème Anniversaire de la Fondation du Travail de Corée de la République Populaire Démocratique de Corée

Le Président Kim Il Sung, fondateur du Parti du travail de Corée et Leader éternel du peuple coréen

Le Parti qui sert son peuple

Le Parti du travail de Corée (fondé le 10 octobre 1945) s'est proposé pour mission de prendre en charge le destin de son peuple et prendre soin de celui-ci pour se dévouer à son bien durant 77 ans.

A peine fondé, il a d'abord mis sur pied en février 1946 le pouvoir du peuple (le Comité populaire provisoire de Corée du Nord) appelé à défendre et à réaliser ses intérêts et l'a fait effectuer sans délai des réformes démocratiques.

Ainsi, la Corée a-t-elle assisté à la mise en application successive des politiques populaires telles que la loi sur la réforme agraire (en mars 1946), celle sur l'égalité des sexes (en juillet 1946), celle sur la nationalisation des industries importantes (en août 1946).

Leur mise en vigueur a permis aux paysans de créer leur vie nouvelle à la force du poignet en travaillant leur terre gratuitement attribuée, aux ouvriers, devenus propriétaires des usines et moyens de production, de mener des activités créatrices et exaltantes en bénéficiant de la journée de travail de 8 heures et aux femmes, affranchies des entraves féodales, de participer librement à la vie sociale, investies des mêmes droits que les hommes.

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Fondée en septembre 1948, la République populaire démocratique de Corée est devenue, sous la direction du Parti du travail, un pays où le peuple est maître de tout et que tout est à son service.

Les politiques populaires qui y ont été mises en vigueur sont là pour savoir combien le Parti du travail de Corée font cas des intérêts du peuple.

Le système de soins médicaux gratuits pour tous y est entré en vigueur depuis le janvier 1953, soit au plus fort de la guerre de Corée (1950-1953) où le sort du pays était en jeu. Ce système médical demandant d'importantes ressources humaines et matérielles est redevable à la décision hardie du Parti du travail qui tenait à faire à sa population subir des soins médicaux gratuits.

Il en est de même de l'enseignement obligatoire et gratuit pour tous.

A l'époque difficile où battait son plein la reconstruction de l'après-guerre visant à relever le pays des ruines de la guerre a été mis en vigueur l'enseignement primaire obligatoire pour tous à partir du mois d'août 1956 et l'enseignement secondaire obligatoire pour tous depuis novembre 1958, période de la construction de la base du socialisme.

A mesure que progresse la construction du socialisme, est entré en vigueur depuis septembre 1972 l'enseignement obligatoire et universel de 11 années, et actuellement celui de 12 années.

Actuellement, le Parti du travail de Corée pratique au meilleur niveau sa politique de service du peuple.

Ayant défini l'idée de privilégier les masses populaires comme l'idéal politique fondamental du Parti du travail, son Secrétaire Général Kim Jong Un a avancé les mots d'ordre tels que Tout pour le peuple, tout grâce à l'appui des masses ! Que tout le Parti travaille inexorablement pour servir le grand peuple ! ; il veille à donner la priorité à l'intérêt et au confort du peuple dans toute entreprise en RPDC et à défendre jalousement la dignité et les intérêts du peuple en toute circonstance.

En août dernier, il a visité plus d'une fois la commune de Taechong de l'arrondissement de Unpha, province du Hwanghae du Nord, lieu sinistré par l'inondation pour arrêter les mesures d'approvisionner ses sinistrés en vivres et en articles de grande consommation et d'aménager le village sinistré en un village féerique.

Ce fait a amené la communauté internationale à ressentir plus vivement la nature du Parti du travail de Corée dont la raison d'être est de servir le peuple.

Un parti qui n'a qu'une parole

Le Parti du travail de Corée fait sans faute tout ce qu'il a une fois décidé.

Où en est le secret ?

Primo, c'est qu'il s'appuie sur son peuple pour régler toutes ses affaires.

Selon lui, il n'y a rien d'impossible si l'on fait appel à la force du peuple.

C'est toujours en comptant sur son peuple qu'il prend une décision stratégique qui suppose tant d'efforts et de sacrifices et qu'il ose concevoir un projet grandiose visant à faire des bonds dans la construction du socialisme.

Pour mériter cette précieuse confiance, le peuple coréen fait preuve d'une force inépuisable tant dans la sauvegarde du socialisme que dans l'édification socialiste.

Sans son effort de sacrifice, il est impossible d'imaginer les réalisations que ne cesse d'obtenir, en dépit d'une situation d'une dureté sans précédent et à l'admiration de tout le monde, la RPDC dans son renforcement du potentiel militaire et son édification économique.

Secundo, c'est en menant des offensives irréductibles qu'il met en pratique toute tâche.

L'esprit d'indépendance qui pousse à faire toutes les choses selon ses convictions et sa détermination, quoi qu'on en dise, l'opiniâtreté propre à affronter les défis et obstacles rencontrés, l'esprit de suite dont il fait preuve dans la révolution en progressant sans la moindre fatuité ni le moindre arrêt, la capacité d'assaut à faire d'un seul bond ce qui a coûté à d'autres des dizaines d'années, tels sont les attributs du Parti du travail de Corée.

A force de déployer ses offensives indomptables contre tous les défis et épreuves, la RPDC en est venue à s'ériger en un Etat stratégique pourvu d'une parfaite capacité à se défendre et à réaliser d'incessants succès significatifs et précieux dans son édification économique.

Tertio, le Parti du travail de Corée conduit son peuple par sa direction scientifique.

Toutes les lignes et politiques qu'il propose ces dernières années, notamment la ligne stratégique de se concentrer sur l'édification économique du socialisme et l'idée de faire un essor par la science et de garantir l'avenir par l'éducation, ainsi que les opérations qu'il commande pour les réaliser se fondent sans exception sur son jugement scientifique de la situation concrète et de la réalité objective du pays.

Les succès remarquables que la RPDC remporte dans tous les secteurs, notamment politique et militaire, économique et culturel, et l'échec complet des manœuvres d'isolement et d'étranglement des forces hostiles contre elle témoignent de la scientificité de la direction du Parti du travail de Corée.

Quarto, le Parti du travail de Corée réalise sa direction orientée vers l'avenir.

Nous devons faire tout ce que nous pouvons pour la future génération, quelque grande que soit notre peine d'aujourd'hui, et nos créations être irréprochables de sorte que celle-là n'y apporte pas de retouches, tel est le principe important auquel se tient le Parti du travail de Corée dans son édification socialiste.

Les constructions sans nombre qui s'érigent actuellement en RPDC reflètent l'idéal et l'ambition du Parti du travail de Corée disposé à assurer au peuple le plus de bonheurs possible pour aujourd'hui et à créer tout ce qui est possible pour le bien de la jeune génération.

La direction du Parti du travail de Corée qui adhère au principe d'élaborer chaque dessin et commander chaque opération, non point superficiellement ni en imitant l'échantillon, mais avec esprit innovateur et dans la perspective d'avenir garantit sûrement le lendemain radieux de la RPDC.

Parti mère

Le peuple coréen appelle le Parti du travail de Corée parti mère.

Cette réalité est un mystère incompréhensible pour les gens bien sûr de l'Occident, mais encore du reste du monde.

Ce point d'interrogation peut être déchiffré si l'on considère la politique du Parti du travail de Corée qui fait de l'amélioration du bien-être de sa population une priorité de son programme politique et met tout à son service.

L'essentiel du kimilsunisme-kimjongilisme, idéologie directrice du Parti du travail de Corée, est de privilégier les masses populaires.

Nul au monde n'est plus précieux que le peuple et rien au monde n'est plus sacré que ses intérêts, tel est le credo du Parti du travail de Corée.

Il y a quelques années, un déluge frappa la région riveraine du fleuve Tuman à l'extrémité nord de la Corée. C'était une grande calamité jamais vue. En face de ce désastre, la communauté internationale eut pitié des sinistrés et se montra inquiète de leur avenir.

A cette époque, il arriva que des fonctionnaires d'une institution internationale rencontrèrent une enfant de 11 ans.

Au premier abord, ils sentirent une chose d'étrange : c'est qu'ils ne purent remarquer dans son visage le moindre effroi ni le moindre pessimisme, même après que sa famille se trouva soudainement sans logis avec la perte de tous ses biens de ménage emportés par des torrents d'eaux impétueux.

A la question qu'on lui posait sur son avenir elle répondit qu'elle ne s'en inquiétait guère puisque le Maréchal Kim Jong Un s'occuperait de construire son neuf logement.

Du moment que n'était pas encore publié l'appel du Comité central du Parti du travail de Corée concernant la réparation des dégâts, nul ne pouvait imaginer quelles mesures l'Etat prendrait désormais. Mais cette petite fille croyait dur comme fer en son Dirigeant, en son régime.

Le Parti du travail de Corée, soucieux que les habitants sinistrés soient à l'abri d'un froid imminent, a fait remettre au plus tard tous ses projets pour faire de la construction des habitations une tâche prioritaire.

Grâce à la volonté de Kim Jong Un pour qui rien n'est plus urgent ni n'est plus important que de soulager le peuple de sa douleur et de son malheur, ont été érigés en plus de deux mois plus de 11 900 chics logements où se sont nouvellement installés les sinistrés.

Cette réalité a amené la communauté internationale à penser à la déclaration du Parti du travail de Corée selon laquelle sa raison d'être est de servir le peuple.

Les intérêts de celui-ci constituent le critère de toutes les politiques et lignes du Parti du travail de Corée et sont jalousement défendus en toute circonstance. Il faut envisager même un commerce perdant si c'est pour le bien du peuple, et le calcul n'importe dans ce cas, telle est la manière de calculer du Parti du travail de Corée.

Aussi, le peuple coréen s'en remet-il au Parti du travail de Corée et le suit-il si sincèrement.

Il fête solennellement chaque année l'anniversaire du Parti du travail de Corée (le 10 octobre) comme celui de sa propre mère.

Le chemin choisi par la RPDC

Chaque pays, chaque nation, a sa manière de se développer et de prospérer.

De grands pays cherchent, moyennant leur potentiel militaire et économique, à exercer leur influence sur d'autres tandis que de petits et faibles pays tentent de faire appel à ceux-là pour se défendre et développer leur économie et se conforment à l'humeur de grandes puissances pour marcher à petits pas circonspects.

Or, quel chemin a-t-elle choisi la RPDC ?

Devenue autrefois un champ des rivalités d'intérêts entre les grandes puissances, elle faisait l'objet d'opprobre et de martyre.

Aussi, y ont profondément été enracinés la servilité envers les grandes puissances et le recours à eux. On croyait impossible la libération du pays du joug japonais sans l'aide d'autres grands pays et espérait sottement que le triomphe de la révolution dans un grand pays pourrait mener à l'indépendance de la Corée.

A cette époque, le Président Kim Il Sung (1912-1994) a avancé la ligne révolutionnaire Juche de l'emporter sur l'ennemi en s'appuyant uniquement sur son peuple et en s'armant par soi-même pour conduire la grande guerre contre l'occupant japonais, accédant ainsi à la libération de la Corée.

Dès lors, l'indépendance est devenue le credo immuable de la révolution coréenne.

La RPDC, qui a, après la Libération, mis en place un pays du peuple, un Etat socialiste axé sur les masses populaires du premier genre dans l'histoire et ne cesse de le perfectionner, n'a pas dévié le moins du monde de son chemin de l'indépendance.

Si elle avait, obnubilée par on ne sait quel " développement " ou quelle " prospérité ", délaissé sa position d'indépendance pour recourir à autrui, elle aurait été vouée au sort de pays où le socialisme a échoué.

En dépit de la pire situation où les forces impérialistes coalisées, hostiles, à la faveur de la chute, vers la fin du dernier siècle, du socialisme dans plusieurs pays, font converger leur offensive anti socialiste sur elle, elle a porté plus haut sa bannière de l'indépendance.

Sous la politique de Songun originale pratiquée par Kim Jong Il (1942-2011), Président du Comité de la défense nationale, elle a pu sauvegarder son socialisme et entrer dans la nouvelle phase de construction d'une puissance socialiste.

Aujourd'hui, elle poursuit invariablement, sous la direction de Kim Jong Un, Président du Comité des affaires d'Etat, son chemin de l'indépendance inauguré par Kim Il Sung et continué par Kim Jong Il.

En ce moment, elle avance de pied ferme pour atteindre son objectif d'édification d'une puissance économique en consolidant son statut de puissance politico-idéologique et militaire.

Le prestige dont elle, quoique pays peu étendu et à la petite population, jouit à l'heure actuelle comme une puissance de l'indépendance, est inconcevable sans la direction de Kim Jong Un qui continue fidèlement la politique d'indépendance comme l'avaient entendu ses prédécesseurs.

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