Luanda — La Fédération angolaise de tennis (FAT) a annoncé mercredi, à Luanda, la possibilité de construire un centre de haut niveau avec huit (8) ou dix (10) terrains, visant le développement rapide du sport dans le pays.

S'adressant à l'ANGOP, le vice-président de la FAT, Garcia Kiambi, a déclaré que pour la mise en œuvre du projet, soutenu par la Confédération africaine (CAT) et la Fédération internationale (ITF), des terres sont nécessaires, à céder par les autorités angolaises, dans la capitale du pays.

Il a ajouté qu'en cas de possession de l'espace, la FAT, en partenariat avec d'autres entreprises, ne peut construire initialement que deux terrains et plus tard le reste, déjà avec le soutien éventuel de l'instance dirigeante mondiale (ITF).

Pour le dirigeant, l'infrastructure serait un atout aux fins de la FAT, principalement dans la formation et l'autonomisation des talents, ainsi que la tenue de compétitions au plus haut niveau.

La FAT a reçu des garanties pour la construction du projet lors de l'Assemblée générale de la CAT, qui s'est tenue récemment à Accra, au Ghana, où l'Angola était présent avec une délégation conduite par Garcia Kiambi.

Outre les provinces de Benguela, Lunda Norte, Huila, Namibe, Cabinda et Huambo, la capitale du pays est le principal pôle de développement de ce sport, avec en tête le Luanda Tennis Club (CTL) avec quatre (4) terrains.

La FAT contrôle plus de cinq mille athlètes, inclus dans des clubs, des écoles et des centres.