Ecrivain et homme politique, Didier Mumengi dévoile à l'intention de l'agora politique et littéraire son tout nouvel ouvrage intitulé "militariser l'agriculture, guerre sans fin contre la faim".

Dans cette œuvre d'esprit, l'auteur se dit révolté du degré de médiocrité du système alimentaire congolais, et propose ainsi, ce qu'il appelle "la pensée radicale de redressement agricole", laquelle dit-il, se concrétise par la militarisation de l'agriculture. En clair, la pensée de l'éditeur vise à la création d'un nouveau corps militaire, à l'instar de 3 existants, lequel travaillera de manière martiale et à la hussarde et qui servira d'exemple pour les congolais "qui avons perdu le goût du travail à part forcer". La présentation du livre ainsi que le vernissage a eu lieu vendredi 28 octobre dans la salle de conférence de la CENCO, dans la commune de la Gombe.

Un ouvrage à plus de 390 pages qui amène des innovations dans le domaine alimentaire, en accordant une importante intention à la stratégie dite d'état d'urgence agricole avec notamment, la systématisation du travail de la terre, à travers la création d'une unité des forces armées spécialisées dans l'agriculture. Pour l'auteur, cette idée est plus qu'une solution, étant donné qu'à travers cette militarisation, les congolais seront en mesure d'exorciser toutes les blessures narcissiques qui les empêchent de croire qu'ils sont capables de génie et de miracles d'intelligence. " Nous en sommes là à en croire que nous sommes un peuple voué à la misère. Cette militarisation, c'est un corps, c'est une partie de nous qui va se mettre sous le drapeau à travailler 15h, 20h par jour, pour nous montrer qu'il est maintenant temps que nous devenions esclaves de notre propre bonheur, après avoir été esclaves de la prospérité des autres. Voilà l'esprit du livre " militariser l'agriculture ", a-t-il renseigné. La militarisation de l'agriculture est, pour Didier Mumengi, un impératif catégorique pour la nation comme le Congo.

Elle est une armure pour l'auto[1]alimentation en RDC. A son avis, la question de la planification de l'économie agroalimentaire telle que structurée dans son livre est une démarche de court terme, qui est question de l'accélération de la production agricole dans tous les domaines. " Dans le livre, j'ai consigné 22 filières Ecrivain et homme politique, Didier Mumengi dévoile à l'intention de l'agora politique et littéraire son tout nouvel ouvrage intitulé "militariser l'agriculture, guerre sans fin contre la faim". Dans cette œuvre d'esprit, l'auteur se dit révolté du degré de médiocrité du système alimentaire congolais, et propose ainsi, ce qu'il appelle "la pensée radicale de redressement agricole", laquelle dit-il, se concrétise par la militarisation de l'agriculture. En clair, la pensée de l'éditeur vise à la création d'un nouveau corps militaire, à l'instar de 3 existants, lequel travaillera de manière martiale et à la hussarde et qui servira d'exemple pour les congolais "qui avons perdu le goût du travail à part forcer". La présentation du livre ainsi que le vernissage a eu lieu vendredi 28 octobre dans la salle de conférence de la CENCO, dans la commune de la Gombe.

Stratégiques qui serviront de base à la relance agricole pour accélérer l'atteinte de l'autosuffisance alimentaire dans notre pays en endéans trois ans. Donc c'est un processus de court terme. Le long terme c'est la transformation, c'est le progrès économique, c'est la fabrication des machines, c'est la fabrication de tout ce qui participe à ce que nous réussissions à commencer l'agriculture dans la terre et la finir dans nos assiettes. Tout cela est possible ", a-t-il affirmé. En outre, le long terme de sa proposition telle qu'il la mentionne, est essentiellement pour l'endettement budgétaire, pour la relance du secteur agricole et, surtout, pour creuser le déficit budgétaire dans une dynamique de déflation du rebond économique. Et ce, argumente l'auteur, parce que les congolais sont capables d'incorruptibilité. " Demain, nous sommes capables de ne pas voler un seul franc de l'État et de mettre les moyens de l'État à la disposition de la relance agricole sans transiter par la corruption ou la dilapidation des biens publics ".