Dans le souci d'éclairer ses cadres et partisans sur les enjeux liés aux élections 2023, le Mouvement des Démocrates Congolais (MDCO), parti cher à Gabriel Mokia Mandembo, a organisé ce week-end, une conférence en vue de faire la restitution des instructions de la CENI.
De ce fait, trois panélistes ont nuancé cette conférence honorée par la présence du président national du MDCO, M. Gabriel Mokia, des cadres et partisans du parti ainsi que d'autres invités. Pour se lancer, le premier panéliste à prendre parole, c'est Me Timothée Botha Botele, qui a planché sur le "l'obligation pour le MDCO de faire les bons résultats aux élections de 2023". Un exposé qui a conscientisé les membres du MDCO à fournir plus d'efforts pour donner le meilleur d'eux en 2023. Il a été suivi par M. André Ngondo qui, quant à lui, a exposé sur "les avantages de la cartographie électorale pour le MDCO". Il a fait voir à l'assistance l'intérêt du schéma électoral. Et, cet instant panel a été clôturé par l'intervention du secrétaire fédéral de la Tshangu/MDCO, M. Junior Lumu. Ce dernier, lui, a axé son information sur "le problème du seuil électoral pour le MDCO", une intervention au cours de laquelle il a interpellé cadres comme militants à ne pas enfreindre les restrictions de la CENI.
Honorant par sa présence cette conférence, le président national du MDCO, Gabriel Mokia a, dans sa prise de parole, invité les cadres, militants ainsi que les invités ayant rehaussé de leur présence à cette activité à la stricte observation des informations exposées par les panélistes sur les enjeux électoraux de 2023.
Se confiant à la presse, le secrétaire fédéral de la Tshangu/MDCO, Junior Lumu est revenu sur la raison de ce rendez-vous. " Si nous avons ténu cette conférence, c'est d'abord premièrement parce que nous avons remarqué une certaine ignorance de nos membres par rapport aux restrictions ou nouvelles normes de la CENI dictées aux partis politiques, et cela est un danger. C'est pour cela, nous avons organisé cette rencontre ou nous leur avons exposé sur la nécessité de prendre sérieusement en compte ce que la CENI a prescrit aux partis et groupements politiques, les observés, pour que cela ne devienne pas une charge des dommages pour le parti... ", a-t-il signifié.
