Le trafic de carburant fait perdre chaque mois des milliards à l'Etat. L'essence est vendu au litre au bord des routes. Un carburant généralement de mauvaise qualité et à peine moins cher qu'en station-service.
La police ne reste pas inactive, mais le phénomène a pris une telle ampleur qu'il est difficile de faire la chasse au trafiquants.
Le ministre de la Sécurité, Damehane Yark, a promis de renforcer les contrôles avec des sanctions pénales et financières de nature à faire réfléchir ceux actifs dans ce business lucratif.
Les carburants illicites sont acheminés depuis les pays voisins en petite quantité.