Après que l'opinion ait été secouée en ce début de semaine parle témoignage d'une citoyenne de la commue urbaine qui chargeait des agents de la gendarmerie de l'avoir rudoyé parce qu'elle a opposé son désaccord sur la position de la gendarmerie sur un garçon qu'elle soupçonne de lui avoir volé, la réponse de l'unité pointée du doigt est tombée 24 h après.
Pour Algassimou Dokkore Bah, la femme s'est présentée avec un garçonnet sur qui elle portait ses soupçons à la brigade de recherche et sur la base de sa déposition une enquête été ouverte dont les dépens ont été mis à la charge de la famille du présumé auteur du vol.
Comme le transport vers la famille du garçon n'indiquait aucun motif d'arrestation alors un document a été produit pour continuer vers la justice, document que la plaignante Haby Djoulli Dallo aurait refusé de signer puis selon l'agent, elle s'est mise à injurier et à s'en prendre à tout le monde dans le service y compris du matériels de bureau qu'elle a brisé dans sa colère notamment des chaises en plastique.
Excédés par ce comportement inadéquat et inhabituel, l'officier se serait référé au téléphone à sa hiérarchie qui aurait instruit de la retenir d'abord, de même que le comportement de la plaignante a été remonté au procureur près le TPI qui ne manquera pas de réagir dans les heures à venir sur ce qu'il lui q été communiqué de l'affaire.
Il faut signaler qu'une longue crise de confiance entache les rapports entre justiciers et justiciables de longue date en Guinée et les seconds sont habités par l'idée que les premiers ne peuvent plus agir selon la loi et privilégient toujours les dessous de table et autre bakchich.