Le Togo ne sera jamais Holywood, mais le pays espère développer son industrie cinématographique et si possible l'exporter.
Tout est mis en oeuvre pour y parvenir, y compris des moyens financiers accordés par l'Etat, explique Essohanam Koutam, directeur national de la cinématographique.
Un Fonds national de soutien été lancé récemment. Il doit permettre d'aider les scénaristes, les metteurs en scène, les producteurs et les concepteurs de documentaires.
Le cinéma togolais doit profiter d'un marché en pleine évolution. Les salles de cinéma demeurent populaires, mais les plateformes comme Netflix, le streaming et les nouvelles chaînes de télévision via la TNT, le câble et le satellite sont autant d'opportunités.
Reste à faire un cinéma de qualité car l'argent n'est pas forcément synonyme de talent.