La nouvelle est tombée comme une météorite dans la communauté Lekie. Dans un groupe WhatsApp dédié à cette communauté de la région du Centre l'on peut lire la substance de la note du journaliste qui officie à Vision 4.
Cette décision de démissionner de cette institution de formation, où il n'était qu'à la première année, fait suite au communiqué rendu public par le directeur, Pr Alice Nga Minkala. Ledit communiqué qui fait aussi suite à la lettre du directeur de publication du quotidien Le jour, Haman Mana. Dans cette lettre, le DP de Le jour, contestait le choix des étudiants de la 53e promotion des journalistes de l'Esstic pour avoir choisi Jean Pierre Amougou Belinga comme parrain de cette promotion.
La lettre de désistement du journaliste Bruno Bidjang.
PROPOS DU PARRAINAGE DE JEAN PIERRE AMOUGOU BELINGA A LA 53e PROMOTION DE L'ESSTIC
Je tiens à rappeler que chaque année , ce sont les étudiants qui choisissent délibérément leur parrain depuis la création de l'Esstic. Le choix est ensuite porté à l'attention de l'administration qui prend automatiquement acte. Cette année, ce sont les étudiants qui de surcroît sont mes camarades qui ont porté leur choix sur SM Jean Pierre AMOUGOU BELINGA. Le président de la promotion lui a adressé à cet effet une lettre qui date de près de deux mois aujourd'hui. C'est même après beaucoup d'hésitation et de réflexion que le patron de Vision4 a répondu favorablement à cette demande. Il n'a rien demandé et n'en voulait même pas!
Je rappelle au passage que l' Institut Supérieur des Sciences, Arts et Métiers ( ISSAM ) de SM Jean Pierre AMOUGOU BELINGA compte plus 2500 étudiants de différentes filières , contre une cinquantaine de L' Esstic où il a été sollicité. Alors il n'a rien mais alors absolument rien demandé. Et personne ne pourrais nier les qualités du meilleur manager de médias privés de Jean Pierre AMOUGOU BELINGA au Cameroun, dans la sous région Afrique Centrale et même en Occident à travers Telesud.
Si j'étais retourné à l'Esstic, c'est parce que je devais achever ma formation débutée il y'a quelques années là-bas. Et je croyais en l'objectivité de cette école. Mais aujourd'hui, je découvre les guerres de clans qui s'y sont implantés et c'est bien Dommage !
Je mets donc un terme à ma formation dans cette école, et j'irai l'achever à l'ISSAM avec fierté. On ne peut pas vouloir traîner le nom de patron dans la boue, et je continue dans cette école comme ci de rien n'était.
Merci à tous mes camarades qui m'ont bien accueilli et désolé si notre aventure se termine de manière aussi précipitée.