La direction du commerce intérieur (DCI) n'a pas constaté une présence de corps étrangers, contrairement à une suspicion noté à travers une vidéo largement partagée sur les réseaux sociaux, faisant état de la présence de plastique dans des lots de riz parfumé Royal Umbrella. Selon la DCI, les analyses effectuées ne révèlent pas la présence de corps étrangers dans les échantillons prélevés.
" Une vidéo largement partagée via les réseaux sociaux a fait état d'une suspicion sur la présence de plastique dans des lots de riz parfumé de la marque Royal Umbrella. Ces faits se sont déroulés dans un pays africain où ledit riz a été interdit de vente ", souligne la direction du Commerce Intérieur (DCI) dans un communiqué parvenu à notre rédaction.
Ainsi, par mesure de précaution, la direction du Commerce intérieur a pris des actes conservatoires, conformément à sa mission de protection des consommateurs, notamment :
D'abord, la saisie des quantités de riz de la marque citée supra détenues dans les magasins de l'importateur. Ensuite, des prélèvements d'échantillons représentatifs du lot saisi, transmis à des laboratoires de la place, notamment le Laboratoire national d'Analyse et de Contrôle (LANAC), aux fins d'analyses pour établir la présence ou non de corps étrangers (plastique) et l'aptitude du riz précité à la consommation humaine.
A ce titre, informe la DCI, les analyses effectuées ne révèlent pas la présence de corps étrangers dans les échantillons prélevés.
Par conséquent, rassure-t-on, ces résultats confortent le certificat phytosanitaire délivré par le fournisseur et les contrôles préalables d'usage, attestant de l'aptitude à la consommation du produit, avant son introduction sur le marché.