Y-a-t-il un passage mal compris par l'opinion dans la circulaire d'interdiction de la vente et de la consommation de la boisson énergétique "24h "? Pour l'inspecteur régional du commence de Labé, la réponse est oui. Il l'a fait savoir au cours d'un entretien avec un de nos reporters.
Selon Idrissa Camara, cette décision des autorités a été mal comprise par les citoyens. " Ce qui est regrettable, c'est que les gens ont confondu vitesse et précipitation. D'abord il ne s'agit pas de toutes les marques 24h jus énergie. Il y a une catégorie dont la date de fabrication est de juin, il y a une deuxième catégorie, la date de f c'est août, il y a une troisième catégorie, la date de fabrication, c'est septembre. Il ne s'agit pas de toutes ces catégories de jus. Il y a cette fabrication de 24h énergétiques qui date de décembre. C'est cette catégorie là qui est concernée ", explique-t-il.
Plusieurs vendeurs de cette boisson s'inquiètent pour le stock en leur possession. Mais notre interlocuteur les rassure. " Les opérateurs économiques qui ont ce produit n'ont qu'à le rendre. Personne ne perdra. La perte reviendra à l'usine. Ça, c'est la faute de l'usine. Il y a une direction qui est chargée de la métrologie. C'est cette direction qui a pu découvrir ça ", dit-il.
Jusqu'ici de nombreux citoyens pensaient que c'est le jus proprement dit, qui était désormais interdit dans le pays.