L'ouverture du Salon international de l'artisanat de Ouagadougou, a été relayée à travers le monde grâce aux médias.
Zoom sur les journalistes qui, dans l'ombre font rayonner la biennale de l'artisanat. Que serait le Salon international de l'artisanat de Ouagadougou (SIAO) sans les hommes et femmes de médias qui travaillent pour sa visibilité. Cette année encore, ils sont présents. Leurs "armes" à la main, à l'épaule ou sur des trépieds, sous le soleil ou à l'ombre, debout ou assis, c'est avec enthousiasme que tous rendent compte des temps forts de la biennale de l'artisanat africain. Pour l'édition 2023, ils sont 551 journalistes accrédités, venus de différents pays du monde à couvrir le SIAO.
Un soutien salué par les autorités. Dans son discours à l'ouverture du Salon de l'artisanat africain, le parrain de la cérémonie, le président de l'Assemblée législative de Transition, Ousmane Bougouma leur a rendu un vibrant hommage.
Le délégué général du SIAO, Dramane Tou a pour sa part apprécié positivement la contribution de la presse burkinabè, africaine et internationale, tout au long du processus. " Nous avons eu la chance d'être accompagné avant, pendant et après chaque édition par l'ensemble de la presse depuis la création du SIAO mais particulièrement pendant les deux dernières éditions ", a-t-il souligné.
Il s'est dit reconnaissant de la disponibilité des médias qui, malgré les conditions souvent difficiles, ne ménagent aucun effort pour couvrir l'ensemble des activités du Salon. " Les médias jouent un rôle central et nous sommes unanimes que sans eux, on n'aurait pas réussi la mobilisation des acteurs pour l'événement et même la communication autour du salon ", a indiqué M. Tou.