L'insécurité dans la région des Savanes (nord Togo) a provoqué des déplacements de population.
Le secrétaire général du gouvernement, Kanka Malik Natchaba, a donné samedi le chiffre de 4.900 personnes. 'Mais ce chiffre n'est pas statique', a-t-il précisé.
Les pouvoirs publics prennent en charge les déplacés. Ils sont accueillis, nourris si il le faut, et les enfants scolarisés.
Des prises en charge psychologiques sont également assurées.
Il faut également mentionner les ressortissants burkinabés qui ont franchi la frontière pour se mettre à l'abri des groupes djihadistes. Leur nombre est inconnu.