Même s'il reste encore les derniers détails à régler pour la tenue prochaine de la conférence de réconciliation nationale en Libye, la présence à Addis-Abeba, le 17 février, en marge du sommet de l'Union africaine (UA), de toutes les composantes du pays à la réunion préparatoire menée sous l'égide du Comité de haut niveau de l'UA que préside le chef de l'Etat congolais, Denis Sassou N'Guesso, est un signe que tous les Libyens sont pour une sortie de crise dans les meilleurs délais.
Convaincu des avancées enregistrées dans ce processus, le président du Comité de haut niveau, entouré du secrétaire général des Nations unies, Antonio Gutteres, et du président de la Commission de l'UA, Moussa Faki Mahamat, a sollicité l'appui des partenaires stratégiques nommément cités : Egypte, Algérie, Maroc, Arabie saoudite, Emirats arabes unis, Turquie, Qatar, Allemagne, Italie, France, Russie, Etats-Unis d'Amérique, Nations unies afin d'aider la Libye à recouvrer sa stabilité.