Le décès du ministre Dodo Ndoke revêt le caractère de l'" Affaire empoisonnement du ministre Dodo Ndoké " Selon le ministre Joseph Anderson Le, ministre de la fonction publique et la réforme administrative porte-parole des élites de la région de l'Est au cours des obsèques du ministre des mines de l'industrie et du développement technologique " on ne s'élève pas d'abord en éliminant son frère ou sa sœur...
Chacun a sa place chacun à son tour. Je n'en dirais pas plus. Je sais qu'on se comprend " Ce sont là des propos tenus par le ministre Le au cours des cérémonies d'inhumation du ministre Dodo Ndoke le Week end dernier à Batoumi dans sa région natale de l'Est Cameroun. Des propos qui viennent corroborer le caractère suspect de la mort du jeune ministre de 51 ans. Des sources parlent d'empoisonnement.
Au demeurant, au cours de la cérémonie d'inhumation, c'était un véritable " hommage de la Nation " fait au Le ministre des Mines, de l'Industrie et du Développement technologique. Il a été élevé à la dignité de Commandeur de l'Ordre national de la Valeur à titre posthume, au cours de ses obsèques officielles samedi dernier, par le Premier ministre, Joseph Dion Ngute, représentant personnel du chef de l'Etat. La cérémonie tenue à Batouri a connu une forte mobilisation des membres du gouvernement, des populations et élites de la région de l'Est venus rendre un ultime hommage à l'illustre disparu. Comme l'indique Cameroon Tribune le quotidien à capitaux publics.
Seulement, l'actualité de Batouri vient remettre sous les projecteurs la guerre des clans qui règne au sommet de l'Etat au moment ou on parle de plus en plus de succession à la tête de du pays. L'intervention de ministre, originaire de l'est suscite une interrogation : Qui a tué le ministre Dodo Ndoke ?
L'affaire Doko Ndoke vient ainsi s'ajouter à celles qui s'amoncellent sur bla table du premier ministre le Dr Joseph Dion Ngute que le journal Sans Détour expose sous les " Mille raisons de démissionner ". Pour cet hebdomadaire paraissant à Yaoundé capitale et siège des institutions du Cameroun, Des indiscrétions lui prêtent l'intention de vouloir quitter le gouvernement, où son autorité ne serait pas reconnue et respectée. Construction des infrastructures de la Can, gestion des fonds Covid, érection sous sa fenêtre du monument " Le Patriote ", gestion de la médiation dans la crise anglophone... Les motivations sont nombreuses pour un coup d'éclat audacieux qui donnerait à la fonction de Premier ministre, toute la stature et la dimension consacrées par la constitution.
Au sujet des Elections à l'Ordre des médecins du Cameroun : " Un Groupe de travail interministériel mis sur pied ". Présidé par le Secrétaire général des services du Premier ministre, Séraphin Magloire Fouda, ledit Groupe de travail dispose d'un délai de 30 jours, depuis le 13 février 2023, pour accomplir ses missions. Lesquelles missions consistent à réviser la liste électorale, examiner le contentieux y relatif et valider la liste électorale du bureau de l'Ordre national des médecins du Cameroun. L'objectif, est d'aboutir enfin à l'organisation des élections consensuelles et transparentes au sein de cette corporation, après deux renvoies annonce le Quotidien Echos Santé.