L'enquête mixte police-gendarmerie prescrite par le président de de la République pour faire la lumière sur l'assassinat de journaliste Martinez Zogo n'a pas encore donné sa copie. Plus d'un mois après la découverte macabre du corps mutilé du chef de chaîne d'amplitude FM, l'opinion piaffe d'impatience. Les journalistes invités à fermer la bouche.
Depuis le 22 janvier 2023, l'opinion est en alerte maximale. Le corps en putréfaction d'un homme, celui de Martinez Zogo a été découvert état de putréfaction, présentant des sévices corporels graves. Aussi, l'opinion souhaite en savoir davantage sur cette enquête instruite par le chef de l'Etat mais qui traîne à connaitre son épilogue malgré l'interpellation de plusieurs suspects.
Face à ce silence qui devient de plus en plus assourdissant, le gouvernement est pointé du doigt dans ce que le Journal Le Témoin appelle " La communication gouvernemental au tribunal " Dans un communiqué du ministre de la communication porte-parole du gouvernement, Emmanuel Rene Sadi " ne reconnait pas le mutisme dont on pointe du doigt le gouvernement "
Le ministre est monté au créneau pour lever le ton, avec un zeste de menace à l'endroit des hommes de médias pour les instruire " Vous me la bouclez ! " Le quotidien Mutations, paraissant à Yaoundé indique que Dans un communiqué rendu public hier, le gouvernement invite les professionnels des médias ç attendre sagement la publication des résultats de l'enquête, " en temps opportun", sous peine de poursuites judiciaires. Une mise en garde qui passe mal, plus d'un mois après l'assassinat du chef de chaîne d'Amplitude FM.
Pour Cameroon Tribune, le quotidien à capitaux publics, il s'agit de " L'appel au sens de la mesure ". Dans un communiqué du gouvernement rendu public hier, le ministre de la Communication, et porte-parole, René Emmanuel Sadi, rappelle que les pouvoirs publics, comme tous les autres acteurs sociaux, sont soumis au respect du secret de l'instruction dans le cadre d'une procédure Judiciaire en cours.
Jet de l'Approvisionnement en énergie électrique en 2023 : " Les principaux axes de redressement du secteur de l'électricité ". Pour le journal Forum Libre, La problématique était au coeur du Conseil de cabinet tenu le 23 février dernier par le Premier ministre, Chief Joseph Dion Ngute. Conformément à l'engagement pris par le président Paul Biya, lors de son adresse à la nation, le 31 décembre 2022, appelant à une accélération de la mise en place d'installations visant à dynamiser la production d'électricité au Cameroun, le ministre de l'Eau et de l'Energie Gaston Eloundou Essomba a présenté, au cours de son exposé, " les lignes directives et les perspectives du programme de redressement du secteur de l'électricité axé sur les résultats ".
Donc la mise en oeuvre coûtera près de 300 millions de dollars Usd dans un secteur confronté à de nombreuses contraintes structurelles et conjoncturelles, qui entretiennent un déséquilibre financier.