La présidente de l'Assemblée nationale, Christine Razanamahasoa, a répondu aux questions des journalistes face aux récentes actualités.
Sur une éventuelle motion de censure, elle a fait savoir que " personne ne pouvait pas prédire l'avenir. On n'y pense même pas. Personnellement, cela ne fait pas partie de l'ordre du jour ". Autrement dit, elle n'est pas partante. Sur la double nationalité du président de la République, qui vise ce dernier à ne plus se présenter à la prochaine élection présidentielle.
Le numéro Un de l'Assemblée nationale a souligné qu' "il ne faudrait pas seulement se référer à l'article 42 de la Constitution, on devrait aussi tenir compte de l'article 45 ". Et d'enchaîner que " l'ancienne nationalité n'a plus sa raison d'être mais que cela devrait émaner d'une autorisation compétente. Et que c'est complétement faux de dire qu'il n'a pas le droit de se présenter ".
Concernant la motion d'empêchement brandie par le HCDDED, la Présidenrte de l'Assemblée nationale de déclarer que " cela outrepasse sa compétence. Elle relève plutôt du domaine de la Haute Cour de justice. Je suis sceptique que cela va aboutir ".