L'ONG « Le Congo n'est pas à vendre » a exigé, lundi 3 avril, la préparation rigoureuse et la transparence totale dans le processus de renégociation du contrat minier chinois.
Au cours d'une conférence de presse à Kinshasa, cette structure de la société civile a salué la décision du gouvernement de procéder à la révision de la convention sino-congolaise, signée en avril 2008, entre la RDC et le groupement d'entreprises chinoises (GEC), relative au développement des infrastructures et à l'exploitation minière.
Le Congo n'est pas à vendre exige aussi l'ouverture d'enquêtes judiciaires sérieuses, transparentes et crédibles sur les actes de corruption et de détournement des fonds publics.