« Il faut que le cessez-le-feu soit effectif et que les rebelles du M23 soient cantonnés », a déclaré Bruno Aubert, ambassadeur de France en RDC. Il s'est ainsi exprimé mercredi 5 avril au terme de sa rencontre avec le ministre d'Etat à l'Intégration régionale, Antipas Mbusa Nyamwisi.
Pour Bruno Aubert, tout a été bien tracé par le communiqué de Luanda du 25 novembre et confirmé le 17 février par les chefs d'Etat de la région.
« Il va falloir tout justement vérifier le progrès sur le terrain », ajoute-il.
Il rassure par ailleurs sur la disponibilité de son pays, la France, à accompagner le processus de paix en République Démocratique du Congo.