Alors qu'on y voit bien que son parti est bien représenté à la CENI et dispose des représentants au sein des CELI mises en place pour l'organisation des scrutins régionaux et législatifs pour lesquels tous les démembrements du ministère de l'administration territoriale, et l'instance organisatrice s'activent, le 2ème Vice président de l'UFC (Union des Forces de Changement), et ancien ministre des Affaires étrangères du Togo vient relancer le débat sur la composition et la crédibilité même de la CENI quand à la proclamation de résultats fiables, à la suite des votes des Togolais.
Et il a ses raisons qui lui sont propres et qui l'amènent à émettre ce doute. Il les a fait connaitre au travers de ce document dont nous vous proposons la lecture. Toutefois, on est à même de se demander ce qui se passe à l'UFC. Le parti de Gilchrist Olympio, chef de file de l'opposition, serait il devenu de son vivant une formation politique à double voix de résonance ?