Dans les coulisses de la rencontre parisienne du Récit national congolais, les chefs d'entreprise de Glynn savonnerie et Keyaa les promeuvent et nouent des contacts.
La rencontre du 8 avril dernier à Paris était prévue pour constituer une vitrine permettant aux prédécesseurs de la diaspora de montrer ce qu'ils ont à léguer en guise d'héritage. En parallèle, il était question également de montrer le potentiel économique et socioculturel de la diaspora, de son rôle dans le développement par rapport aux investissements et à la création des entreprises.
Une occasion pour les chefs d'entreprise de Glynn savonnerie et Keyaa d'exposer leurs savoir-faire, leurs connaissances et leurs expériences d'entrepreneurs à partir du pays d'accueil.
Pour la société Glynn savonnerie, son promoteur explique que l'idée était de revenir à l'essentiel, à ce qui compte et fonctionne, à ce qui a un sens dans le cadre de la beauté et de la santé, en supprimant tout le superflu et en se concentrant sur un seul point : "Le bien-être".
De ce fait, le stand de cette société a présenté une gamme de savons et shampoings issus de plantes et de végétaux pour la plupart comestibles dans des pays à climat tropical humide d'Afrique et d'Amérique du Sud, avec des matières premières (huiles essentielles végétales, hydrolats, actifs cosmétiques, argiles...) naturelles et écologiques. « L'innovation est au coeur de toute notre activité », a expliqué son promoteur.
Au stand de Keyaa, les représentants vantaient plutôt les bienfaits "des super aliments" présentés comme étant naturels, à valeur nutritionnelle exceptionnelle, reconnus pour leurs nombreux bienfaits. Ils se consomment dans leur entièreté et en petite quantité pour les effets escomptés, à en croire leurs explications.
Et de confier que leur consommation est peut-être déjà au quotidien sans le savoir. « Avec Keyaa, nous vous proposons de les découvrir dans une version africaine, grâce à des produits utilisés depuis des décennies pour leurs vertus thérapeutiques saines », pouvait-on entendre.