Enfin ! La République démocratique du Congo peut maintenant bien mener le combat pour son intégrité territoriale étant donné que le dirigeant du pays agresseur qu'est le Rwanda, a finalement dévoilé ses intentions.
Au-delà de tous les subterfuges, Kagamé a avoué qu'il avait besoin de quelques portions des terres qu'il enviait dans les pays voisins dont la RDC. Toutes les revendications de ses ouailles ne sont que des alibis pour lui permettre à atteindre ses objectifs. Oui, beaucoup se posaient certainement la question de savoir les motivations réelles qui poussaient le Rwanda d'agresser son voisin la RDC via son protégé, le M23. Aujourd'hui, en effet, tout est si-clair que l'on n'est plus forcément obligé d'engager de détectives pour découvrir la vérité sur l'agresseur et les raisons qui motivent ses actes.
Depuis le partage de l'Afrique en 1885, il est connu de tous que la RDC à la superficie de 2.345.410 Kilomètres carrés. A cela, la dernière sortie médiatique de Paul Kagame depuis le Bénin, qui tentait de falsifier l'histoire et justifier la persistance de la guerre dans l'est du Congo, dont il est le parrain direct, par les conséquences de la prétendue "possession frauduleuse" par la RDC des terres Rwandaises, met au clair les intentions prédatrices et envieuses de Kigali, qui continuait de nier jusqu'hier, son implication dans les atrocités qui sévissent dans la partie orientale de la RDC.
En affirmant qu' « une partie du Rwanda a été donnée au Congo, le sud à l'Ouganda », Paul Kagame a non seulement tenté de falsifier l'histoire, mais il s'est fait démasquer et a aussi avancé les raisons qui le poussent à mener la guerre dans cette partie de la RDC. Les masques sont tombés, derrière une bonne fausse raison. Paul Kagame reste toujours dans sa recette de la victimisation. Hier, c'était à cause des FDLR qui se seraient enfuis vers le territoire congolais, aujourd'hui une autre histoire qu'il taille pour attirer la sympathie du monde.
Maintenant, l'ennemi est connu, ses intentions aussi. Il revient à l'Etat congolais d'organiser son armée, lui doter des moyens nécessaires pour qu'elle soit à même de tenir devant les belligérants et assurer l'intégrité de son territoire.