Evoqué la continuité de l'orchestre Viva-la-Musica après la Mort de Papa Wemba est une remise en question non seulement de la musique africaine, en particulier de la Rdc, mais également des antivaleurs qui dérogent presque dans plusieurs domaines de la Société Congolaise.
Ailleurs, dans les pays émergents, ce n'est pas compliqué de parler en bien des grandes sociétés après la mort du propriétaire. Mais au Congo, les aiguilles de la montre semble tourné au sens inverse. Combien des patrimoines n'a-t-on pas vu s'écrouler les uns aux autres, simplement parce que les enfants qui ont succédé au bien de leur père sont incapables de se surpasser pour sauver l'image du testateur. Nous savons bien que l'Orchestre Viva-la-Musica est un patrimoine qui a dépassé les frontières africaines, mais la seule question, est-ce que les musiciens qui gèrent cet orchestre seront-ils capables de faire mieux?