La panne de quelques groupes de la centrale hydroélectrique d'Inga sont à la base de la baisse de la production énergétique à Kinshasa. Le comité de gestion et le directeur général intérimaire de la Société nationale d'électricité (SNEL) ont fait ce constat lors d'une descente sur le site d'Inga samedi 22 avril.
A la suite de ces pannes, la ville de Kinshasa et le reste du pays connaissent des coupures intempestives du courant électrique et des délestages sévères.
Selon le directeur général intérimaire de la SNEL, Eddy Lwamba, les travaux de maintenance et la rareté des pièces de rechange justifient certains arrêts de service à Inga :
« Nous cherchons d'abord à récupérer encore la puissance sur l'énergie disponible que nous avons notamment ici à Inga. Il y a des travaux sensibles qui devraient se faire dans la journée. Il était impérieux de pouvoir approcher nos équipes. Nous sommes satisfaits par une dynamique des Congolais qui sont ici et qui font un travail très impressionnant ».
Des problèmes sont inquiétants pour la SNEL, mais pas insurmontables, assure le DGA de la SNEL :
« Le message est d'espoir parce qu'aujourd'hui nous sommes en train de faire le nécessaire pour répondre à leurs besoins. Il est vrai que la demande en termes d'électricité surpasse largement notre offre. Mais aujourd'hui, nous sommes en train de voir par quel moyen nous pouvons améliorer nos conditions de travail...»
Eddy Lwamba était à la tête d'une forte délégation constituée du comite de gestion de la SNEL, des certains responsables politiques dont le président de l'assemblée provinciale du Kongo-Central ainsi que de la presse.
Eddy Lwamba était a la tête d'une forte délégation constituée du comite de gestion de la Snel, des certains responsables politiques dont le président de l'Assemblée provinciale du Kongo Central ainsi que de la presse.