Le contenu des propositions présentées par le ministère de tutelle n'a pas été dévoilé. La commission administrative de la fédération de l'enseignement de base devra étudier les deux options ; poursuite ou arrêt de la rétention des notes et annoncera ses décisions lundi prochain.

La fédération de l'enseignement de base tiendra lundi prochain sa commission administrative sectorielle consacrée à l'examen des propositions du ministère de l'éducation (secrétaire général adjoint de la fédération)

La fédération générale de l'enseignement de base tiendra lundi prochain, sa commission administrative sectorielle qui sera consacrée à l'examen des propositions présentées par le ministère de l'Éducation, au cours de la séance de négociation tenue mercredi entre les deux parties, selon les déclarations du secrétaire général adjoint de la fédération générale, Ikbal Azzabi.

Le contenu des propositions présentées par le ministère n'a pas été dévoilé.

La commission administrative devra étudier la poursuite ou l'arrêt de la rétention des notes du deuxième trimestre et annoncera ses décisions prochainement.

La fédération générale de l'enseignement de base avait revendiqué lors des réunions de négociations, l'amélioration des conditions de travail des enseignants et la réforme du système éducatif.

De son côté le ministère de tutelle qui avait publié un communiqué dans lequel il a annoncé la tenue d'une séance de travail au siège du département n'a pas révélé l'issue de cette rencontre.

Ont assisté à cette séance de travail, qui a été présidée par le ministre de l'Education, Mohamed Ali Boughdiri, des membres de la fédération générale de l'enseignement de base, conduits par le secrétaire général de la fédération Nébil Haouachi, ainsi que plusieurs cadres de la présidence du gouvernement et des ministères des Finances et des Affaires sociales, ainsi que des représentants du ministère de tutelle.

Dans son communiqué, le ministère de l'Éducation a indiqué que cette réunion a été consacrée à la poursuite des négociations concernant les revendications du secteur.