Les réponses militaires pour contrer l'extrémisme violent dans les pays du Conseil de l'Entente sont insuffisantes, estiment les responsables de cette organisation régionale.
Des experts en sécurité viennent de tenir une réunion de plusieurs jours à Lomé.
Un certain nombre de recommandations - non détaillées - seront adressées aux chefs d'Etat.
Le Ghana, qui n'est pas membre du Conseil, pourrait y être associé dans le domaine de la lutte contre le terrorisme.
Le Togo, comme les autres membres de l'organisation, est soumis à la pression terroriste.
Sa réponse est à la fois militaire et sociale en aidant les régions pauvres, épicentre des attaques, à se développer.
Le Conseil de l'Entente comprend le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, le Niger et le Togo.