Côte d’Ivoire : Présidentielle 2025- Guillaume Soro indique qu’« il n’y a pas de raison » de ne pas être candidat
Guillaume Soro, ancien président de l'Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, en exil depuis décembre 2019, a indiqué, lundi 8 mai 2023, lors d’un direct sur facebook qu’« il n’y a pas de raison » qu’il ne soit pas candidat lors des élections présidentielles de 2025 en Côte d’Ivoire. En réponse à une question de Moussa Touré, son chargé de communication, également en exil, de savoir s’il pouvait « être candidat d’abord compte tenu des décisions de justice prononcées». Guillaume Soro indique qu ‘« il n’y a pas de raison ». Pour lui, les décisions de « la justice aux ordres» qui le condamnent en Côte d’Ivoire ont été « invalidées par la cour africaine des droits de l’homme et des peuples ». Ce qui lui permet d’être éligible pour les élections de 2025.Évoquant son état de santé parfois sujet à discussion sur internet, Guillaume Soro rassure : "je vais bien, je circule, je tiens des réunions, je voyage pour nouer des contacts et participer à des réunions privées ", indique Guillaume Soro. (Source : abidjan.net)
Niger : Insécurité - Sept soldats tués dans l'explosion d'une mine
La Garde nationale nigérienne (Gnn) a annoncé dimanche que sept soldats nigériens avaient été tués lorsque leur véhicule a sauté sur une mine dans la région de Tillabéry à l’ouest, où des groupes djihadistes opèrent régulièrement. La Garde nationale nigérienne (Gnn) a annoncé dimanche que sept soldats nigériens avaient été tués lorsque leur véhicule a sauté sur une mine dans la région de Tillabéry à l’ouest, où des groupes djihadistes opèrent régulièrement.« Un véhicule de la mission hebdomadaire d'escorte de ravitaillement a sauté sur une mine en fin de matinée, à environ 6 km du village de Samira, dans le département de Gothèye, près de la frontière avec le Burkina Faso », indique un communiqué de la Gnn, rattachée au ministère de l'Intérieur et en première ligne dans la lutte anti-djihadiste. (Source : Euronews)
Sénégal : Condamnation d’Ousmane Sonko - Abdourahmane Diouf dénonce « l’instrumentalisation »
Le président du parti “Les Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l'éthique et la fraternité“ (PASTEF), Ousmane Sonko, peut compter sur le soutien total du candidat à la présidentielle du 25 février 2024, Ass Abdourahmane Diouf, par ailleurs président du parti Awalé.Après sa condamnation en appel pour diffamation et injures publiques, plusieurs leaders de l'opposition ont manifesté leur soutien au maire de Ziguinchor qui n'était pas présent au tribunal, préférant présider un Conseil municipal dans sa commune. Parmi ces leaders, il y a Abdourahmane Diouf, candidat déclaré à l'élection présidentielle. Il dénonce une instrumentalisation de la justice à des fins politiciennes.« La traque des opposants déterminés à faire respecter la Constitution continue. Macky Sall ne s'épargnera aucune peine pour triompher sans gloire. Nous dénonçons avec force l’instrumentalisation de certaines procédures judiciaires à des fins politiciennes. Nous apportons notre soutien total à Ousmane Sonko et demandons à l'opposition de se mobiliser et de rester unie », a-t-il indiqué. ( Source : adakar.com)
Guinée : Armée nationale- Les colonels Amara Camara et Ibrahima Sory Bangoura élevés au grade de Général…
Appelez-le désormais Général Amara Camara! Le ministre Secrétaire Général à la Présidence et porte-parole de la même institution vient de monter en grade. L’ancien commandant de l’École militaire interarmées (EMIA) a été élevé à la dignité et à l’appellation de Général de Brigade par le colonel Mamadi Doumbouya. Le décret a été lu lundi 08 mai 2023 à la télévision nationale. M. Camara est une des figures importantes du CNRD, la junte militaire au Pouvoir depuis le 05 septembre 2021 en Guinée. Dans la même sillage,le colonel Ibrahima Sory Bangoura, ministre de l’urbanisme de l’habitat et de l’aménagement du territoire a été élevé à la dignité et à l’appellation de Général de Brigade. (Source : africagunee.com)
Rdc : Inondations dans l'est- Le bilan s'alourdit à près de 400 morts
Inondations dans l'est- Le bilan s'alourdit à près de 400 morts. Les habitants des deux villages touchés par les inondations regardent les dégâts causés par la catastrophe à Nyamukubi, dans l'est de la Rdc le 8 mai 2023. Les inondations et glissements de terrain provoqués par de fortes pluies jeudi dans le Sud-Kivu, dans l'est de la République démocratique du Congo, ont fait au moins 394 morts dont les corps ont été retrouvés, selon un nouveau bilan communiqué dimanche par un responsable administratif. « On est maintenant à plus de 390 corps retrouvés. 142 à Bushushu, 132 à Nyamukubi et 120 viennent d'être retrouvés flottant sur le lac Kivu" au niveau de l'île d'Idjwi » a déclaré M. Bakenga dimanche après-midi par téléphone à l'Afp.
Soudan : Conflit armée- Le Hcr tire la sonnette d’alarme
Au moins 481 civils ont été tués à Khartoum depuis le début des combats le 15 avril dernier et plus de 2 500 ont été blessés. Les ressortissants étrangers ont été rapatrié pour la plupart dès les premières semaines du conflit mais des millions de civils restent piégés par les échanges de tirs. Pour ceux qui ont réussi à s'en sortir, l’accès aux soins n’est pas garanti. Le conflit aurait déplacé 330 000 personnes à l'intérieur du pays et 100 000 autres vers les pays voisins, selon l’Agence des Nations-unis pour les réfugiés. À la frontière entre le Soudan et le Tchad, des centaines de réfugiés affluent, réduit à faire la queue pendant des heures pour un morceau de pain, en attendant d’être logés. « Le HCR est en train d'identifier des sites éloignés d'ici, à au moins 50 kilomètres, pour reloger les personnes qui se trouvent à la frontière, de manière à ce que le risque d'insécurité soit au moins résolu, mais aussi pour leur fournir une assistance, » explique Brice Degla, coordinateur principal des urgences du HCR au Tchad. Selon les Nations unies, il faudrait près de 445 millions de dollars pour venir en aide aux réfugiés de la crise politique soudanaise. Les pourparlers, plaidoyer de l’Union Africaine et autres menaces de sanctions des Etats-Unis n’ont eu aucun impact sur les belligérants qui semblent être très loin de baisser les armes et encore moins d'un accord de paix. (Source : africanews)