Les professionnels des médias coupables des infractions et fautes professionnelles sont passibles des peines prévues par le Code pénal en Rdc. La loi de mars 2023 sur la liberté de presse renforce leur protection, certes, mais les astreint au respect des droits des autres, conformément à leur éthique professionnelle. Les contrevenants de cette loi devront être jugés par les tribunaux ordinaires, pour ce qui est des infractions pénales, d'une part, et par le tribunal des pairs de l'Unpc pour ce qui est des fautes professionnelles, de l'autre.
Le magazine qui fait la promotion des droits et devoirs se penche sur ce qu'il sied d'entendre par "la répression des infractions par voie de presse en droit congolais", conformément à la nouvelle loi relative à la liberté de presse, comparativement à la loi de 1996 et au statut des professionnels des médias. Quelles sont les infractions pénales dont les journalistes et autres professionnels des médias sont passibles des peines devant les cours et tribunaux ?
Comment réprimer les infractions commises par voie des médias par les journalistes et leurs complices ? Quelle différence peut-on établir entre l'infraction pénale et la faute professionnelle ? C'est la problématique qu'évoque Droits et Citoyenneté. Ce magazine est une production de Jeef Ngoy. Bonne écoute