Luanda — Les femmes qui exercent les fonctions les plus variées dans le secteur maritime ont été félicitées jeudi, pour s'être engagées à élever la dynamique et le développement de la profession dans le pays.
S'exprimant le 18, Journée internationale de la femme maritime, l'administrateur des services locaux de l'Agence maritime nationale, Edgardo José da Silva, a fait savoir qu'en Angola, il y a des femmes qui travaillent dans tous les domaines du secteur maritime, ce qui contribue à la dynamisation des océans et à la durabilité de l'humanité.
"Bien qu'il existe toujours un important déséquilibre entre les sexes dans le transport maritime en Angola, il y a eu des changements, donc cette réalité n'apportera que des avantages à l'ensemble du secteur, comme une plus grande diversité dans la main-d'oeuvre", a-t-il affirmé.
Dans le cadre de la devise saluant la date, "Mobiliser les réseaux pour l'égalité des sexes", le responsable a souligné l'importance de la collaboration et du travail en en réseau pour parvenir à l'égalité des sexes dans le secteur maritime.
« Nous profitons encore une fois de plus de l'occasion pour saluer les nombreuses femmes qui contribuent à l'avenir du transport maritime : navigatrices, ingénieurs, gestionnaires, représentantes du gouvernement et de l'industrie », a-t-il mentionné.
À l'occasion, il a expliqué que l'Organisation maritime internationale ouvre la voie à la création de meilleures conditions pour soutenir les femmes marins du monde entier, encourageant la prochaine génération à rejoindre l'industrie maritime en faveur du développement social.
Le 18 mai a été institué par l'Organisation maritime internationale (OMI) comme Journée internationale de la femme maritime, dans le but de réfléchir sur le rôle des femmes dans l'activité maritime.
La République d'Angola soutient l'égalité des sexes à travers des politiques d'intégration des femmes dans les domaines les plus divers, y compris le secteur maritime.
L'Agence maritime nationale mène un profond travail de sensibilisation, en commençant par les établissements d'enseignement, qui s'étendra aux armateurs, dans le sens d'augmenter systématiquement le nombre de femmes à bord des navires, opérant en Angola et connectés à la mer et à terre.