Des mélomanes ont de quoi passer un weekend de rêve avec ces deux artistes aux registres artistiques variés.
La Diva Queen Etémé donnera un show live historique à Ebolowa, chef-lieu de la région du Sud. Ça démarre dès ce soir, avec un dîner show-case au restaurant « Belle Histoire » de la ville du même nom. Demain, ce sera au restaurant-cabaret « Le Caviar » du cercle municipal Nguenga. La reine mère va ainsi donner sa voix pour des causes humanitaires, notamment dans la lutte contre les maladies rares.
L'initiative est portée par le mouvement associatif des acteurs de la communication Apped 2, donc l'engagement pour des causes humanitaires porte des faits d'armes on ne peut importants. Le mouvement s'inspire des initiatives de développement ainsi que la culture pour passer son message. Et pour faire sens à leurs actions, ils impliquent des artistes engagés pour la cause.
Dans cette saison, le casting est porté vers Queen Étemé, dont ses états de service dans l'humanitaire frise déjà la légende. Pour cette cause noble, la mairie de la ville d'Ebolowa et le Conseil régional du Sud se positionnent en avant-garde avec une série d'activités culturelles et de découvertes touristiques. Les ressources générées au cours de ces randonnées iront aux associations qui luttent contre les formes de maladies rares.
Petit Pays
Un concert live à vivre à tout prix. Malgré sa grande capacité d'accueil, le cabaret Boukarou Lounge pourra s'avérer exigu demain pour contenir des fans de Petit Pays. De ce côté, l'on annonce déjà des réservations de presque toutes les tables. Des habitués de l'espace savent déjà à quoi s'en tenir ; surtout que Rabba Rabbi y est annoncé en compagnie de son orchestre Les Sans Visas. Le public aura le plaisir de revivre ses chansons cultes qui se comptent par centaine.
De son vrai nom, Adolphe Claude Moundi, Petit Pays s'est surnommé « Le Turbo d'Afrique, L'avocat défenseur des femmes, Rabba Rabbi, Effatta ou encore King of Makossa Love ». Pendant sa longue carrière meublée de succès, Petit-Pays chante en Douala, en français, et en pidgin. Ses rythmes de prédilection sont le makossa et le zouk (rythme des Antilles) qu'il a baptisé par ses soins « Makossa Love ».