Alors que le barreau guinéen ait décidé de boycotter le procès du 28 septembre jusqu'au paiement des honoraires des leurs qui défendent les acteurs impliqués dans les tueries du 28 septembre, le garde des sceaux, Alphonse Charles Wright a fait une sortie bancale qui a suscité une levée de bouclier chez sa corporation d'origine mais pas que puisque chez les activistes de l'OGDH aussi, la situation est scrutée à la loupe.
Pour Souleymane Bah président de l'organisation, son entité est partie civile au procès qui constitue le dernier espoir des familles et des leurs après un combat de 13 ans.
L'activiste est formel que les avocats et l'état doivent discuter et lui et les siens sont prêts à démarcher les deux protagonistes pour ne pas que ce procès flanche explique_t_il.Tout en précisant que les avocats présents au procès abandonnent souvent leurs cabinets pour venir défendre les accusés impliqués dans le procès.
Abordant le cas du garde des sceaux, Charles Wright, Souleymane Bah estime qu'il n'y a pas à faire du bruit devant la loi, pour lui si le ministre qu'il n'a pas daigné nommé croit qu'il est écrit ou non de façon formelle dans les textes que l'État doit ou non prendre en charge les avocats qu'il le brandisse simplement, avant de souligner que Charles Wright est trop versé dans les bisbilles de façon permanente.