Comment se passe la préparation ?
La préparation pour l'Afrobasket se passe bien, le groupe vit bien. On est en train d'aller au rythme du coach, on a fait plus de physique de tirs et d'attaques placées.
Vous êtes la seule joueuse locale, comment avez-vous accueilli votre sélection ?
Avec honneur et toujours une certaine humilité. Et c'est toujours un plaisir de répondre à l'appel de l'équipe nationale. Être la seule joueuse locale ça met une petite pression certes mais c'est juste une motivation supplémentaire pour montrer que j'ai ma place et que cette présélection n'est pas anodine.
2019 vous avez raté de très peu la sélection, vous revenez cette année, quels sont vos objectifs ?
Je veux faire partie des 12 évidemment, donner le meilleur de moi-même pour répondre aux critères du coach et faire partie de la liste finale pour aller à l'Afrobasket.
Comment ça se passe dans ce groupe composé d'anciennes et jeunes ?
Ça se passe super bien. Les anciennes sont toujours là pour nous guider, nous donner des conseils. C'est toujours nécessaire d'avoir cette expérience pour aider à comprendre en fait ce que le coach veut. Elles ont fait beaucoup d'années avec lui, donc évidemment elles le connaissent bien.
L'entraînement en équipe nationale et en club, une charge supplémentaire ?
J'essaye de trouver le juste milieu. Ce n'est pas facile certes, mais j'essaye de me m'aménager comme je peux, les coaches m'aident aussi comme ils peuvent. Ça va, on commence à s'adapter.
Que pouvez-vous nous dire du groupe du Sénégal où on retrouve l'Ouganda et le Mali ?
Toutes les équipes se valent et l'objectif c'est de gagner dans tous les cas. Donc, on va prendre chaque match comme si c'était le dernier. On sait que le Mali a toujours été une équipe forte, il faut se préparer au mieux.