Au lendemain de l'attaque d'une école dans la localité ougandaise de Bwera par les ADF, non loin de la frontière avec la RDC, plusieurs réactions condamnant cet acte terroriste sont enregistrées à travers le monde.
La France a condamné « avec la plus grande fermeté l'attaque abominable » qui a causé plusieurs dizaines de morts et de blessés, selon la déclaration de son ministère des Affaires étrangères.
« La France adresse ses condoléances aux familles et aux proches des victimes, aux autorités ougandaises et exprime sa solidarité aux blessés », a indiqué le porte-parole du Quai d'Orsay.
Le président de la Commission de l'Union africaine, Moussa Faki Mahamat, a exprimé « son horreur » face à cette attaque meurtrière.
« Il n'y a pas de mots pour le choc ni la condamnation assez forts pour exprimer mon horreur face à l'attaque terroriste brutale et lâche par des terroristes présumés de l'ADF », a-t-il écrit sur twitter.
Pour le Secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, « les responsables de cet acte effroyable doivent être jugés », a déclaré un de ses porte-parole, Farhan Haq.
Antonio Guterres appelle également à la libération « immédiate » des personnes enlevées par la milice islamiste, a-t-il ajouté.
L'Union européenne a aussi fermement condamné cette attaque.
Ce dimanche 18 juin, après la prière de l'Angélus depuis la fenêtre du palais apostolique, le Pape François a exprimé sa consternation et prié pour les victimes de « cette sordide attaque », rapporte VaticanNews.