Cameroun: La crise s'enlise entre MTN et Danpoullo - Des conteneurs pourrissent au port de Douala.

Des sujets qui font la résistance dans l'actualité. De même que l'homosexualité qui revient avec la sortie du ministre de l'administration Paul Atanga Nji. L'Affaire Congelcam connait un nouvel épisode révélé par le quotidien La Nouvelle Expression paraissant à Douala la capitale économique. La situation au port de Douala est plutôt inquiétante on note « Plus de 432 conteneurs de poissons sabotés ».

Ces conteneurs entreposés à la Régie du terminal à conteneur du Port autonome de Douala ont été découverts ces jours-ci après une mission d'inspection instruite par le ministre du Commerce. Tous étaient pourris, faute d'alimentation en énergie électrique. Les responsables de Congelcam dénoncent un complot ourdi contre leur entreprise.

Il y a aussi l'Affaire MTN-Baba Danpullo avec de « Nouvelles révélations ». Le quotidien Mutations, paraissant à Yaoundé informe que La défense de l'opérateur de téléphone donne les détails des prêts bancaires octroyés pour une durée de 120 mois à Bestinver Compagny South Africa (PTY) LTD appartement à l'homme d'affaires camerounais.

Pour le journal Economie du Cameroun, l'Affaire Baba Danpullo /Mtn Cameroon s'étend aux Medias Publics et « Les auditeurs noyés " par erreur " ». Le journal continue pour dire que Dans une tribune, un avocat estime que certains médias à capitaux publics induisent leurs auditeurs en erreur, et se rendent complice d'une tentative scabreuse de captation de l'Etat Camerounais à des fins inavouées.

Sur la Promotion de l'homosexualité, « Atanga Nji interdit les activités de Berthon au Cameroun ». Dans une correspondance adressée au gouverneur du Centre, ce 20 juin, le ministre de l'Administration territoriale instruit de n'accorder aucune autorisation à l'ambassadeur français pour les droits des personnes LGBT dans le cadre de l'objet ayant motivé son voyage. Ecrit Info Matin.

Cameroon Tribune, la quotidien à capitaux publics revient sur Sommet pour un nouveau pacte financier avec le titre « Prêts pour la rupture ». A la première journée des travaux dans la capitale française, où se trouve le président de la République, Paul Biya, les participants à cette rencontre ont relevé la nécessité de repenser l'architecture financière mondiale, pour une meilleure intégration des pays en voie de développement qui continuent de souffrir du diktat des institutions financières internationales.

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