Des lampadaires allumés en pleine journée, d'autres en panne la nuit quand on en a vraiment besoin. C'est le contât dressé par l'Association togolaise des consommateurs (ATC).
Une question de sécurité, mais pas seulement car les tarifs d'éclairage public sont imputés aux contribuables.
Autrement dit, ils payent pour se retrouver dans le noir ou pour avoir de la lumière extérieure en pleine journée.
Les recettes générées servent théoriquement à entretenir le réseau d'éclairage public et à l'étendre.
L'ATC demande aux pouvoirs publics d'intervenir au plus vite.