L'Ong Impact in Social Health (FIS - Cameroun), veut en découdre avec la tuberculose. Sous sa coordination, 45 prestataires de santé ont été formés pendant plusieurs jours à l'effet de dominer cette maladie qui continue à faire des victimes au Cameroun et en Afrique. Les ateliers constituant le fil conducteur sont placés sous le thème « faire progresser les résultats de la TB pédiatrique chez les enfants vulnérables, déplacés internes en zones urbaines au Cameroun ».
Débuté le mercredi 12, l'atelier s'est achevé le samedi 15 juillet à Safyad hôtel. Dès 8 heures de jour, des participants déjà assis en ordre de discipline, attendent le début du premier atelier. Ils ont chacun un cahier qui leur permet de noter tout ce qui sera dit. Il s'agit du jour 3 où il est question de capaciter les Asc-Acra sur le remplissage des outils de collecte de données physique et numérique du projet. Le jour 2 consistait à briefer les personnels de santé sur les techniques de sreening verbal de la tuberculose et de l'enquête de l'entourage. L'objectif du premier jour était de briefer les participants sur les généralités de la tuberculose, les modes de transmission, le traitement et la coïnfection Vih-tuberculose chez l'enfant.
Les encadreurs constitués d'experts dans le domaine d'intervention, se sont donné pour mission de mettre les personnes formées au même niveau d'informations et de compréhension de l'enjeu de la situation.
Les ateliers ont été coordonnés par le directeur exécutif de l'ONG For Impact in Social Health (FIS - Cameroun), Bertrand kampoer. Huit districts de santé et 15 formations sanitaires de Yaoundé ont pris part à cette session. Il s'agissait précisément des chefs de districts, médecins généralistes, laborantins et infirmiers des différentes formations sanitaires. Ce projet est une initiative de l'ONG avec le soutien financier de Expertise France en partenariat avec le ministère de la santé public du Cameroun (Minsanté), le Programme National de Lutte contre la Tuberculose (PNLT), l'Instance de Coordination Nationale des subventions du Fonds Mondial (ICN), le Service Diocésain de Santé et FESADE.