La presse écrite traverse une période difficile. Des quotidiens comme Liberté et Togo Matin ont réduit le rythme des parutions. Deux pour le premier, trois pour le second.
Augmentation du prix du papier, des salaires et absence de publicité, c'est un cocktail explosif. A cela, il faut ajouter la concurrence d'internet et des réseaux sociaux.
Publier un journal au Togo relève du courage, de la résilience, du combat et du patriotisme, écrit jeudi le rédacteur en chef de Togo Matin.