L'ancien ministre de la Communication, Djimon Oré, a été libéré en avril dernier. Il a bénéficié d'un grâce présidentielle.
Président du Front des patriotes pour la démocratie (FPD, opposition) il avait été condamné à 2 ans ferme pour 'outrage à des représentants de l'autorité publique et diffusion de fausses nouvelles'.
Et pas question pour lui de reprendre le chemin de la maison d'arrêt. Il est bien décidé à se ternir à carreau.
'Ma conviction politique est maintenue et reste inébranlable', a-t-il déclaré lundi. Mais il veut mener son combat autrement.
D'autant que le contexte se prête à ce réengagement avec la tenue prochaine des élections régionales et législatives.