À moins de trois mois du premier tour du scrutin présidentiel, le TGV veut passer à la vitesse supérieure. Ce samedi, le parti a donné rendez-vous à ses partisans dans l'Atsimondrano.
L'occasion pour ses ténors de défendre le quinquennat de leur poulain mais surtout de solliciter, une nouvelle fois, la candidature de Andry Rajoelina. Parmi les personnes présentes à ce meeting se trouvaient Arivelo Randriamanantany, ministre de la Santé publique, Gérard Andriamanohisoa, secrétaire d'Etat en charge des Villes nouvelles et de l'Habitat, Hery Rasoamaromaka, gouverneur de la région Analamanga et, non moins, secrétaire national du parti TGV, Andry Ratsivahiny, député de l'Atsimondrano, Naivo Raholdina, député du Ve arrondissement ainsi que des maires et des responsables d'association.
S'unir
« Un des objectifs de ce meeting était de remobiliser l'électorat local », a-t-on indiqué tout en citant les actions qui ont été conduites dans différents domaines, telle que la construction des CSB, des EPP, des routes, ou encore, des stades par le pouvoir exécutif dans le district Antananarivo-Atsimondrano. Avec, bien évidemment, une vidéo à l'appui. Les dirigeants locaux du TGV ont voulu montrer que le pouvoir actuel a bien plus de réalisation à son actif que les précédents régimes. Les différentes personnalités qui ont pris la parole ont insisté sur la nécessité de s'unir afin de peser sur l'échiquier électoral car « l'union fait la force ».