Ile Maurice: Connexion à internet lente - La faute à des câbles sous-marins à fibre optique endommagés

La lenteur de la connexion n'est pas passée inaperçu ces derniers jours. Elle fait des mécontents. Plusieurs utilisateurs d'internet, que ce soit pour travailler ou se distraire, font face à des problèmes de connexion.

Pourquoi cette lenteur dans la vitesse de connexion ? Au niveau de la Mauritius Telecom, on nous indique que «des câbles sous-marins à fibre optique SAT3 et WACS, qui se trouvent le long de la côte ouest de l'Afrique ont été endommagés».

Un communiqué a été émis pour expliquer que des travaux ont débuté sur la partie du câble sous-marin Lower Indian Ocean Network (LION/LION 2) située dans le lagon de Nyali, au Kenya. Des mesures, souligne-t-on, ont été mises en place pour atténuer l'impact sur le service.

Du côté d'Emtel, il est soutenu : «nos services ne sont pas affectés par la panne sur le câble sous-marin SAT-3 et la maintenance planifiée en cours sur le câble sous-marin LION, se terminera le 11 août 2023 ». Outre, « nous disposons d'une capacité suffisante sur le câble METISS et, en réponse à l'avis de maintenance du câble LION, nous avons déjà pris des mesures proactives pour rediriger le trafic vers le câble METISS. La maintenance planifiée et la coupure du câble SAT-3 n'ont aucune incidence sur nos utilisateurs ».

AllAfrica publie environ 400 articles par jour provenant de plus de 100 organes de presse et plus de 500 autres institutions et particuliers, représentant une diversité de positions sur tous les sujets. Nous publions aussi bien les informations et opinions de l'opposition que celles du gouvernement et leurs porte-paroles. Les pourvoyeurs d'informations, identifiés sur chaque article, gardent l'entière responsabilité éditoriale de leur production. En effet AllAfrica n'a pas le droit de modifier ou de corriger leurs contenus.

Les articles et documents identifiant AllAfrica comme source sont produits ou commandés par AllAfrica. Pour tous vos commentaires ou questions, contactez-nous ici.