Les professeurs de l'université de l'UPN se sont plaints de l'accoutrement des étudiants et étudiantes pendant les heures des cours.
S'habiller décemment fait partie, désormais, d'une exigence de cette Alma mater. Désormais, la tenue de ville à savoir: chemise, pantalon, cravate, ou veste pour les garçons et pagnes, longue jupes, robes pour les filles. La tenue portée par les étudiantes pose parfois problème. Tout habit qui exposerait les corps des jeunes étudiantes, ne sera plus autorisé. Chacune est tenue donc de veiller à la bonne réputation de l'établissement conformément aux règlements édictés par le ministère de l'Enseignement supérieur et universitaire.
Le constat fait par les professeurs démontre que la caractéristique principale de cet accoutrement, c'est la tendance à exhiber les parties intimes du corps féminin.
«Ce sont ces mêmes étudiantes qui s'opposent à cette ces mesures qui se disent victimes souvent d'harcèlement sexuel », déclare un professeur avant qu'un autre membre du corps académique ajoute : «Mieux vaut s'habiller de façon simple et décente. Le comportement de certaines filles tend à confondre cette institution universitaire à certains lieux où l'on encense les antivaleurs».
Cette décision des autorités académiques couronnent leur effort à lutter contre les antivaleurs.
Cependant, il sied de reconnaitre que la beauté d'une femme ne peut pas blesser la décence. Le souci esthétique ne doit pas passer outre le sens de la mesure. L'éducation de base et les bonnes valeurs sont acquises dès le bas âge, et les parents doivent accompagner l'université dans cette logique en veillant sur la manière dont leurs enfants s'habillent en se rendant à l'université.