Dans un rebondissement spectaculaire, les anciens professeurs radiés de l'Université de Yaoundé 1, Fridolin Nke, Ndock Ndock Gaston et Damaris Mandob, font l'objet d'une recherche active par la gendarmerie. Une plainte déposée par le recteur Maurice Aurélien Sosso, accusant les trois individus de menaces de mort et d'injures, est à l'origine de cette situation tendue.
Depuis l'annonce de leur radiation du corps professoral de l'Université de Yaoundé 1, les noms de Fridolin Nke, Ndock Ndock Gaston et Damaris Mandob ont été au centre d'une controverse académique et administrative. Alors que leur exclusion a suscité des débats et des discussions dans les cercles universitaires, une nouvelle tournure de l'affaire a récemment pris place, mettant en lumière des accusations graves et des investigations de la part des autorités.
Les faits : Une exclusion contestée
La décision d'exclure les trois professeurs de l'Université de Yaoundé 1 a été annoncée il y a quelques jours, laissant place à des spéculations et des suppositions quant aux raisons de cette mesure radicale. Les trois individus ont été écartés du corps professoral suite à des allégations de comportement inapproprié et de non-respect des règles et normes académiques en vigueur au sein de l'institution.
La plainte du Recteur : Des accusations graves
Cependant, le dossier a pris une tournure juridique inattendue lorsque le recteur de l'université, Maurice Aurélien Sosso, a déposé une plainte à l'encontre des trois anciens professeurs. Les motifs de la plainte incluent des accusations de menaces de mort et d'injures proférées à l'égard du recteur et d'autres membres de l'administration universitaire.
Le dépôt de cette plainte a immédiatement enclenché une série d'actions de la part des autorités. La gendarmerie a été saisie de l'affaire et a entamé des recherches actives pour localiser et interroger les individus concernés. Les accusations portées à leur encontre ont donné lieu à une enquête sérieuse visant à déterminer la véracité des allégations et à établir les responsabilités.
L'affaire des professeurs radiés de l'Université de Yaoundé 1, désormais recherchés par la gendarmerie pour des accusations de menaces de mort et d'injures, met en lumière les tensions et les divisions au sein de l'institution. Alors que les enquêtes se poursuivent et que les accusations sont examinées, l'avenir de l'université est en jeu, avec des implications profondes pour sa réputation et son fonctionnement interne. L'affaire souligne également l'importance d'une gouvernance transparente et équitable au sein des institutions académiques pour éviter de telles crises à l'avenir.