Encore une cabale pour le Directeur du cabinet du Président de l'Assemblée nationale, le très discret M Boukar.
Cette fois-ci, ses enemis sont allés puiser dans un registre assez particulier pour ternir son image. Alors qu'il magnifiait les actes de Paul Biya chef de l'Etat et les actions du très Honorable Cavaye Yegue Djibril PAN, une officine a monté de toute pièce une sordide histoire en manipulant l'expression " arraché le pouvoir " utilisée pourtant dans un contexte précis.
C'est que, récemment à Tokombere, le Directeur du Cabinet du Président de l'Assemblée nationale a trouvé des mots justes pour s'adresser aux populations, autorités administratives, religieuses et traditionnelles de TOKOMBERE. Pour les invités presents, le message est passé : celui du soutien de l'alignement derrière les institutions républicaines incarnées par Paul Biya, celui de la fidélité au Pan, du travail et de la détermination.
Toute fois, une certaine officine a trouvé un angle d'attaque plus diabolisant pour l'image du Dircab M Boukar. En jouant sur le mot " arracher u poste". Dans leur fougue haineuse, les commanditaires n'ont pas trouvé important de traduire en français certains extraits du discours dans lequel le DIRCAB demandait aux populations de faire confiance à Paul Biya qui mène la barque Cameroun avec tous les fils et filles de ce pays, ils ont oublié la partie dans laquelle Boukar insistait sur le vivre ensemble et encourageait les fils et filles de Mada de travailler pour mériter la confiance de leur hiérarchie respective.
L'orateur a expliqué qu'un poste de responsabilité se mérite, on doit se battre pour l'avoir, on doit "l'arracher" à celui qui fait mal son travail ou à celui qui va en retraite. Arracher ici n'est que la détermination que l'on met pour avoir quelque chose de précieux. " Arracher le coeur d'une femme ne veut pas dire la tuer". Lance un enseignant.
Haman Tidjani, confrère déployé sur le terrain ce jour là à TOKOMBERE par WEEK INFOS est formel et se dit surpris par ce buzz sur les réseaux sociaux " le DIRCAB a livré un message sincère et bien élaboré aux invités . Je dois aussi dire que toutes les composantes du Cameroun étaient présents. Il ne pouvait donc pas tenir un discours de division ou de favoritisme..."
A la réalité, c'est mal connaître l'actuel Directeur de cabinet du PAN. Il a un mode de fonctionnement tout particulier, car sachant être dans le viseur d'une certaine officine. Récemment, l'homme a instruit un nouveau process interne pour l'acheminement et le traitement des correspondances destinées au Président de l'Assemblée nationale. " Pour éviter les manipulations et autres actes de favoritisme..". Depuis quelques années, il combat avec détermination et fougue la corruption dans les services du cabinet du PAN. Tout ceci ne lui fait pas que des amis.