Afrique de l'Ouest: Programme d'appui à la compétitivité de l'Afrique de l'Ouest - Des textes communautaires internalisés

7 Septembre 2023

Le représentant du secrétaire général du ministère en charge du développement industriel, Soumaïla Bara, a présidé la cérémonie d'ouverture de l'atelier national de validation des livrables du forfait 4 de l'assistance technique perlée, dans le cadre du Programme d'appui à la compétitivité de l'Afrique de l'Ouest (PACAO), le mercredi 30 août 2023, à Ouagadougou.

Le Burkina Faso a bénéficié de l'assistance technique perlée mise à disposition par la Délégation de l'union européenne (DUE) dans le cadre du Programme d'appui à la compétitivité de l'Afrique de l'Ouest (PACAO).

Un atelier national a été organisé pour valider les livrables du forfait 4 (activités) portant sur l'inventaire des textes communautaires sur la compétitivité non internalisée et proposer des documents pour les internaliser.

Cette rencontre, sous la bannière du ministère du Développement industriel, du Commerce, de l'Artisanat et des Petites et moyennes entreprises, à travers la Direction générale de la promotion de l'entreprise, a été présidée par le représentant du secrétaire général du ministère en charge du développement industriel, Soumaïla Bara, le mercredi 30 août 2023, à Ouagadougou.

Selon lui, le PACAO intervient dans la valorisation de l'huile de graines de coton, l'apiculture et le solaire avec l'appui de l'Union européenne (UE).

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Dans cette dynamique, il a expliqué que ce sont des textes nationaux et communautaires liés à la compétitivité relative à ces filières qui ont été passés en revue par les participants.

Le PACAO, a assuré Soumaïla Bara, va faire entrer des devises au Burkina Faso, en organisant mieux les acteurs des filières citées.

Pour le représentant de la DUE, Marc Duponcel, le PACAO est un projet régional qui concerne plusieurs pays avec une composante pour le Burkina Faso.

« L'intérêt de l'Union européenne est de renforcer des chaînes de valeurs en rapport avec le climat des affaires. C'est de toiletter aussi les textes pour améliorer la compétitivité des filières retenues », a-t-il indiqué.

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